Aujourd’hui j’avais eu une longue journée, je dois dire que reprendre une vie dans une nouvelle ville c’est pas toujours simple ou facile, il y avait tellement de pulsation surnaturel que par moment je me prenais d’affreuse migraine. Tranquillement dans ma petite chambre d’hôtel, aucun problème pour le moment, je faisais mes choses habituel, mes travaux scolaire, les observation vestimentaire, à savoir quel tenu allais-je bien pouvoir mettre le lendemain. Pourtant j’ignore ce qui se passe, mais je perdis soudainement le fils du temps, j’avais du mal à trouvé comment j’ai pu me déplacer, mais très vite mes esprits ne demeurèrent pas longtemps brouiller puisque j’eu finalement conscience de l‘endroit. Il faisait nuit, il semblait être tard lorsque j’observe autour de moi, je me rend compte que je me trouve non pas dans ma chambre mais dans le parc. Pour y venir par moment depuis mon arrivé il y a pas si longtemps, je sais reconnaître les lieux, mais ce silence m’arrache soudainement une angoisse, ayant du mal à m’orienté, comme si tous mes fonctions ne voulait plus obéir, je tournais maintenant en rond.

Il m’arrive encore d’avoir du mal avec ma nouvelle nature, je veux dire j’ai pu trouver des amis géniaux en ces personne qu’au début je croyais pas à une tel amitié, ils m’aidaient énormément à me rendre plus agréable de compagnie. Seulement voilà, je me retrouvait à nouveau à la case départ, seule, dans une ville que je ne connaissais que depuis peu, en peu de temps j‘ai pu m’adapter à la situation, à ce nouveau quotidien, tel un caméléon qui apprivoise si facilement tous autour de lui. Bref je me retrouve présentement dans le parc, il fait vraiment sombre et c’est le calme totalement, le silence commence à se montrer de plus en plus pesant, comme étouffant, un humain normal dans une vie normal n’aurait pas vraiment été prit de panique, mais comme je ne connaissais rien de cette ville, ni de ce qu’elle pouvait finalement cacher. Pourtant une vois me fait sursauté, je me m’attendais pas à avoir de la compagnie, mon coeur s’accéléra en même temps que je me retournais et pourtant, voyant cette silhouette, ont s’imagine bien des choses.. jusqu’à ce que je reconnaissent celle de ma meilleure amie.

- A..Allison?

Plus je l’observais, plus je reconnaissait clairement ses traits qui me sont si familière, elle a été la première à qui j’avait réussi à vraiment lui prouvé que j’était loin de celle que tous le monde se fait derrière ma façade de fille Populaire. Avec le temps elle est devenu comme une soeur, donc croyez moi si je vous dis que c’est une soulagement de ne plus être seule dans cette ville. J’allais finalement à sa rencontre, ma surprise pouvait se lire encore sur mon visage lorsque je me retrouvais plus près d’elle.

- tu es bien devant moi? Ont te croyait morte... tu as disparu soudainement.. je ne te ressentais plus..

Si au départ mes pas m’a amener jusqu’au part dans un totale hasard et désordre psychologique, encore un coup de mes Pouvoirs que j’avais du mal à contrôler, pourtant cette visite insolite dans ce parc particulièrement calme a eu ses bon côtés. Ne pas être venu ici alors qu’il est extrêmement tard, jamais j’aurais eu la preuve que ma meilleure amie était finalement bien réelle et vivante, vivant dans cette ville qui m’ai encore inconnu. Au moment où nos regard se croise, un déclic se produit, j’ai toujours été et par une force que je n’expliquais pas, lier à Allison, comme si je la percevais car je l’avais senti se volatiliser comme si elle venait de mourir alors que non, elle se trouvais bel et bien là, elle s’approchait alors que je tentais d’expliquer les choses, mes agissements, mon intuition qui me jouait des tours.

- Je.. J’en sais rien, j’ai atterri ici sans que je sache pourquoi

C’était à ne rien comprendre, pourtant je me posais des questions, je m’inquiétais de ne pas avoir trouvé encore les autres, où pouvait bien être Stiles? Lorsque je commence à paniquer il est toujours derrière moi pour me rassurer, trouvé les bon mot pour me calmer et me concentrer. Finalement c’est à travers mes yeux qui commençaient à se remplir de larme que je lui souris, lui serrant sa main encore de libre.

- Plus question qu’ont soit encore une fois séparer.. tu as manquer beaucoup de chose et...

Je stopais, j’allais mentionner stiles, qu’il allait bien, mais qu’à quel point sa présence me manquait